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24 mai 2011 2 24 /05 /mai /2011 22:41

C'est maintenant chose faite après seulement 2 mois d'existence, le site Internet AgritechTrade a déjà pratiquement retrouvé tout les lecteurs du blog Marché des céréales, et au vue de la première analyse des chiffres, c'est l'explosion en ce qui concerne le nombre de page vues dès le second mois.

Il est donc venu le temps de tirer sa révérence avec notre céréale qui nous a permis d'analyser le marché au travers de la planète et de se rendre compte que les événements climatiques que nous subissons depuis plus d'un an étaient déjà en place sur une partie de l'Asie l'hiver 2009/2010 et c'est grâce à cette céréale qu'est le riz que nous avons pu accompagner la tendance qui commençait à poindre le bout de son nez alors que tous les officiels nous prédisaient de nouveau une année terne pour la R2010/2011. On sait maintenant tous ce qu'il en est advenu.

Un grand merci à vous tous cher lecteur fidèle du blog Marché des céréales et pour les derniers qui n'auraient pas encore rejoint l'immense majorité de la communauté, il vous reste une semaine pour bénéficier de l'offre de lancement du mois de Mai.

 

Allez un dernier petit coup d'oeil à notre ami le Riz qui comme un clin d'oeil est arrivé à un stade clé avec sa résistance à 1620 et surtout avec son MACD qui peut casser sa résistance oblique baissière ou replonger une nouvelle fois (voir le graphe ci-dessous) :

 

Riz-24-Mai-2011.png

 

C'est une page qui se tourne et une nouvelle qui commence avec AGRITECHTRADE et d'ici peu déjà une nouvelle naissance à vous présenter, alors à très bientôt.

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commentaires

F
<br /> @ rv18 comme vous dites, le web "fourmille d'infos et de désinfos", j'ajoute "en particulier sur LaRouche..."<br /> <br /> <br />
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P
<br /> Sur la FED :<br /> La Concession de la FED, qui est de 99 ans, créé en 1913, vient à échéance en 2012.<br /> <br /> Cette concession des Banques Privées ne peut être renouvelée, que par l’aval du Congrès US en son entier, donc les deux Chambres réunies.<br /> <br /> Mais cette concession ne sera pas renouvelée, car la vérité va éclater à ce moment là.<br /> <br /> Et une nouvelle FED mondiale apparaîtra dès lors en Asie, avec pour étalon le Yuan Chinois.<br /> <br /> <br />
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P
<br /> Le cartel de la réserve fédérale: les huit familles<br /> <br /> <br /> par Dean Henderson<br /> <br /> Les quatre cavaliers du sytème bancaire américain (Bank of America, JP Morgan Chase, Citigroup and Wells Fargo) possèdent les quatre cavaliers du pétrole (Exxon Mobil, Royal Dutch/Shell, BP Amoco<br /> et Chevron Texaco) en tandem avec Deutsche Bank, la BNP, Barclays et d’autres anciens pontes européens de l’argent. Mais leur monopole sur l’économie globale ne s’arrête pas aux limites des champs<br /> pétroliers.<br />  <br /> D’après les déclarations d’entreprise 10K enregistrées avec la SEC (NdT: la commission des cotations boursières, le “shériff” de Wall Street, ou ce qui devrait l’être), les quatre cavaliers de la<br /> banque sont parmi les 10 actionnaires majeurs de pratiquement toutes les entreprises figurant dans le ghotta du Fortune 500 [1]<br /> Alors qui sont donc les actionaires de ces banques centralisant l’argent ? Cette information est gardée de manière plus ferme. Mes demandes aux agences régulatrices bancaires concernant la question<br /> de savoir qui possède les actions des top 25 compagnies américaines tenant les actions des banques ont initialement reçu un status couvert par le Freedom of Information Act (NDT: loi sur la liberté<br /> de l’information, qui aux Etats-Unis prévoit d’empêcher le secret de l’information), avant d’être finalement refusées sous couvert de raisons de “sécurité nationale”. Ceci est très ironique,<br /> sachant que bon nombre d’actionnaires résident en Europe.<br /> Un des monument de la richesse de l’oligarchie globale qui possède ces compagnies de holding bancaire est la US Trust Corporation, fondée en 1853 et maintenant propriété de Bank of America. Un des<br /> récents directeurs de l’US Trust Corporation et administrateur honoraire était Walter Rothschild. D’autres directeurs furent Daniel Davison de JP Morgan Chase, Richard Tucker d’Exxon Mobil, Daniel<br /> Roberts de Citigroup et Marshall Schwartz de Morgan Stanley. [2] J.W. McCalister, un membre éminent de l’industrie du pétrole avec des entrées dans la maison des Saouds, écrivit dans le Grim<br /> Reaper, qu’il a obtenu des informations de banquiers saoudiens, qui citaient le fait que 80% de la banque fédérale de New York, de loin la plus puissante branche de la réserve fédérale, étaient<br /> détenus par juste huit familles, dont quatre résident aux Etats-Unis. Ce sont les familles Goldman Sachs, Rockefellers, Lehmans et Kuh Loebs de New York, les Rothschild de Paris et de Londres, les<br /> Warburg de Hambourd, les Lazards de Paris et les Israël Moses Seifs de Rome.<br /> CPA Thomas D. Schauf confirme les dires de McCallister, ajoutant que 10 banques contrôlent les douze branches de la réserve fédérale. Il nomme N.M Rothschild de Londres, Rotshschild Bank de Berlin,<br /> la banque Warburg de Hambourg, la banque Warburg d’Amsterdam, Lehmans Brothers de New York, Lazard Brothers de Paris, la banque Kuhn Loeb de New York, la banque Israel Moses Seif de Rome, Goldman<br /> Sachs de New York et la banque JP Morgan Chase de New York. Schauf également cite William Rockefeller, Paul Warburg, Jacob Schiff et James Stillman comme étant les individus qui ont le plus<br /> d’actions à tire individuel dans la réserve fédérale. [3] Les Schiffs sont étroitement liés à Kuhn Loeb, les Stillmans de Citigroup, qui se marrièrent dans le clan Rockefeller au début du<br /> siècle.<br /> Eustace Mullins arriva aux même conclusions dans son livre “Les secrets de la réserve fédérale”, dans lequel il montre des diagrammes connectant la Fed et ses banques membres avec les familles<br /> Rothschild, Warburg, Rockefeller et autres. [4] Le contrôle exercé par ces familles sur l’économie globale ne peut pas être exagéré et est couvert volontairement du sceau du secret. Leur bras<br /> médiatique est prompt à discréditer toute information exposant ce cartel de banques privées comme étant une “théorie du complot”. Pourtant, les faits demeurent.<br /> La maison Morgan<br /> La banque de la réserve fédérale est née en 1913, la même année que mourut J. Pierpont Morgan et que la fondation Rockefeller fut créée. La maison Morgan présidait sur la finance américaine depuis<br /> le coin de Wall Street et Broad, agissant déjà en quasi banque centrale américaine depuis 1838, quand Georges Peabody la fonda à Londres.<br /> Peabody était un partenaire d’affaires des Rothschilds. En 1952, l’enquêteur sur le Fed Eustace Mulins émit la suposition que les Morgans n’étaient de fait que les agents de Rothschild. Mullins<br /> écrivit que les Rothschilds “…préféraient opérer de manière anonyme aux etats-Unis derrière la façade de la JP Morgan and co”. [5] L’écrivain Gabriel Kolko écrivit “Les activités des Morgan en<br /> 1895-96 à vendre des bons du trésor or américains en Europe étaient basées sur une alliance avec la maison Rothschild.” [6]<br /> La pieuvre financière Morgan enroula rapidement ses tentacules autour du monde. Morgan Grenfell opérait depuis Londres. Morgan et Ce depuis Paris. Les cousins des Rothschilds Lambert montèrent<br /> Drexel et compagnie à Philadelphie.<br /> La maison des Morgans étaient impliquées avec les Astors, DuPonts, Guggenheims, Vanderbilts et les Rockefellers. Elle finança le lancement de AT&T, de General Motors, General Electric et<br /> DuPont. Tout comme les banques de Londres Rothschild et Barings, Morgan devint partie prenante dans la structure de bon nombre de pays.<br /> Dès 1890, la maison Morgan prêtait à la banque centrale d’Egypte, finançait les chemins de fer russes, renflouait les obligations du gouvernememt provincial du Brésil et finançait des travaux<br /> publics argentins. Une récession économique en 1893 renforça la puissance financière de Morgan. Cette année là, Morgan sauva les Etats-Unis d’une panique bancaire, formant un groupement pour<br /> remonter les réserves fédéralesavec un envoi d’une valeur de 62 millions de dollars d’or des Rothschilds. [7]<br /> Morgan fut la force motrice derrière l’expansion occidentale des Etats-Unis, finançant et contrôlant les chemins de fer qui avançaient vers l’Ouest. En 1879 les chemins de fer centraux de New York,<br /> financés par Cornelius Vanderbilt-Morgan donnèrent des prix préférentiels à John D. Rockefeller pour son monopole pétrolier de la Standard Oil, scellant ainsi la relation Rockefeller/Morgan.<br /> La maison Morgan alors tombe sous le contrôle familial Rothschild et Rockefeller. Un titre du New York Herald clame “Les géants du chemin de fer forment un trust gigantesque”. J. Pierpont Morgan<br /> qui déclara un jour “la compétition est un pêché” se réjouissait maintenant, “pensez un peu que tout le traffic ferrovière en compétition à l’Ouest de St Louis est placé sous le contrôle d’une<br /> trentaine d’hommes.” [8] Morgan et le banquier de d’Edward Harriman Kuhn Loeb obtenaient un monopole sur les chemins de fer, tandis que les dynasties banquières Lehman, Goldman Sachs et Lazard<br /> rejoignaient les Rockefellers à contrôler la base industrielle états-unienne. [9]<br /> En 1903, les huit familles établirent le Banker’s Trust. Benjamin Strong du même organisme fut le premier gouverneur de la banque de la réserve fédérale de New York. La création de la réserve<br /> fédérale en 1913 fusionna la puissance des huit familles à la puissance militaire et diplomatique du gouvernement américain. Si leurs prêts internationaux n’étaient pas repayés, les oligarques<br /> pouvaient maintenant déployer les fusiliers marins américains (NdT: traduction la plus proche pour “US Marines ») pour collecter les dettes. Morgan, Chase et Citibank formèrent une alliance<br /> internationale syndiquée de prêteurs sur gage.<br /> La maison Morgan était dans les petits papiers de la maison Windsor britannique et de la maison italienne de Savoie. Les Kuh Loebs, Warburgs, Lehmans, Lazards, Israël Moses Seifs et Goldman Sachs<br /> étaient également très proches des maisons royales européennes. Dès 1895, Morgan contrôlait le flot d’or qui entrait et sortait des Etats-Unis. La première vague des fusions américaines étaient<br /> dans sa prime enfance et était promue par les banquiers. En 1897, il y eut 69 fusions d’entreprises industrielles. En 1899, il y en eut 1200. En 1904, John Moody, le fondateur de Moody’s Investor<br /> Services, dit qu’il était alors impossible de séparer les intérêts des Rockefellers et des Morgans. [10]<br /> La méfiance du public envers l’alliance se propagea. Beaucoup les considéraient comme des traitres à travailler avec le vieux système financier européen. La Standard Oil de Rockefeller, les aciers<br /> américains de Andrew Carnegie et les chemins de fer de Edward Harriman étaient tous financés par le banquier Jacob Schiff de  Kuhn Loeab, qui lui travaillait en relations étroites avec les<br /> Rothschilds d’Europe.<br /> Plusieurs états de l’ouest des Etats-Unis banirent les banquiers. Le populiste William Jennings Bryan fut trois fois le candidat présidentiel démocrate de 1896 à 1908. Le thème central de sa<br /> campagne anti-impérialiste fut de dire aux citoyens que les Etats-Unis étaient en train de tomber dans le piège de “l’esclavage financier au capital britannique”. Teddy Roosevelt battît Bryan en<br /> 1908, mais fut forcé à la suite de ce feu de brousse anti-impérialiste de faire passer le décret anti-trust. Il s’attaqua ensuite au trust de la la Standard Oil.<br /> En 1912 eurent lieu les auditions Pujo, qui s’occupèrent des concentrations de pouvoir à Wall Street. La même année, Mme Harriman vendît ses parts substantielles de la banque du New York Guaranty<br /> Trust à J.P Morgan, créant ainsi Morgan Guaranty Trust. Le juge Louis Brandeis convainquît le présidfent Woodrow Wilson de terminer les situations d’inter-relations de comités directeurs. La loi<br /> anti-trust Clayton fut passée<br /> <br /> <br />
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J
<br /> gap face à l'inflation chinoise (boursorama)<br /> certains se plaignent de l'augmentation du riz de 20% en un mois.<br /> <br /> <br />
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C
<br /> Dégâts de la sécheresse : premier bilan<br /> <br /> Par F.L., le 04 juin 2011 à 12h31, mis à jour le 04 juin 2011 à 12:33<br /> <br /> Alors que le mois de juin vient tout juste de commencer, la sécheresse, arrivée avec deux mois d'avance, a déjà fait des ravages. Les céréales d'hiver ne s'en relèveront pas. Les éleveurs en<br /> appellent à la solidarité nationale.<br /> <br /> Nadine Brisson, chercheur de l'Inra (Institut national de recherche agronomique) en Provence Alpes Côte d'Azur, en est déjà convaincue : la sécheresse de 2011 s'annonce plus grave qu'en 1976. Les<br /> pluies orageuses qui traversent la France depuis le début du week-end devraient bénéficier aux cultures d'été mais arrivent trop tard pour les céréales d'hiver. Cette situation, qui affecte<br /> durement les éleveurs, devrait entraîner une diminution significative des rendements agricoles, en particulier pour le blé et le fourrage. La période comprise entre mars et mai apparaît aujourd'hui<br /> comme la plus sèche depuis 50 ans, selon Météo France ; l'Inra s'attend à une baisse des rendements de 10% à 30% selon les régions, pour l'ensemble de l'Union européenne.<br /> <br /> Météo : un printemps qui bat des records de chaleurs depuis 1900<br /> Sécheresse : 42 départements désormais concernés<br /> <br /> Tout le territoire français est touché. En Lozère certains agriculteurs risquent de perdre "80 à 90% de la récolte de fourrage", a averti Franck Bouniol, coprésident des Jeunes Agriculteurs. Aussi<br /> les éleveurs, "pour arriver à garder leurs bêtes jusqu'à avril 2012, vont devoir acheter entre huit et neuf mois de stock de fourrage, sinon on les abat ou on dépose le bilan", selon lui. Dans les<br /> autres régions frappées par la sécheresse, le scénario est identique : entre 50 et 80% de pertes des récoltes de fourrage en Rhône-Alpes, jusqu'à 70% en Auvergne, un tiers des récoltes en Dordogne,<br /> selon les responsables agricoles locaux.<br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> Merci Commandeur Bond,<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Nous sommes heureux que l'INRA avance maintenant le chiffre des - 20 à - 30 %, car cela fait déjà quinze jours que suite au dernier sondage réalisé sur AGRITECHTRADE, que nous avons pu annoncer le chiffre de - 18 % en Blé au niveau national, soit une production pour la France de 29,6 Mt (il<br /> y a déjà 2 semaines, donc maintenant la situation c'est encore dégradée depuis ...).<br /> <br /> <br /> <br />