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10 février 2010 3 10 /02 /février /2010 21:50

Les surfaces semées en céréales d'hiver sont évaluées à 7,1 millions d'hectares, soit une hausse de 2% par rapport à 2009, se rapprochant ainsi de l'année record 2008.

Selon les premières estimations du ministère, la sole de céréales d'hiver augmente lors de la campagne 2009-2010 de 148 000 ha

La sole de blé d'hiver repart à la hausse

Estimée à 4,9 millions d'hectares, la sole du blé tendre d'hiver est en hausse de 4% par rapport à 2009, mais reste en retrait de 3 % par rapport à l'année record 2008. Toutes les principales régions productrices de blé tendre d'hiver voient leurs surfaces augmenter, notamment le Centre, première région productrice, en hausse de + 2 %. Seule, la Picardie a des surfaces de blé tendre d'hiver qui stagnent.

Après avoir perdu 4 % en 2009, les surfaces de blé dur d'hiver repartent également à la hausse (+13 %). La sole de blé dur d'hiver du Centre, première région productrice, serait en augmentation de 29%.

L'orge d'hiver marque le pas

Après cinq années consécutives d'augmentation, les surfaces en orge d'hiver chutent de 84.000 d'hectares par rapport à 2009 (-6 %), pour atteindre un peu plus de 1,2 million d'hectares. Elle dépasse encore de 3% la moyenne des cinq dernières années. La baisse serait de -19% dans le Centre et de -5% en Bourgogne.

Avec 67 000 ha, les surfaces semées en avoine d'hiver se réduisent de 4 % par rapport aux surfaces alors que celles de seigle augmentent légèrement pour atteindre 26 000 ha (+3%). La sole de triticale, estimée à 365.000 d'hectares évolue peu.

Les surfaces en colza se stabilisent

Les surfaces de colza d'hiver représentent la quasi totalité de l'ensemble des surfaces de colza (99,7 %). Estimées à 1,5 million d'hectares, elles seraient pratiquement au même niveau qu'en 2009 (-5 000 ha), et restent à un niveau élevé (+ 3 % au dessus de la moyenne 2005-2009). Par rapport à 2009, elles sont en hausse dans les trois premières régions productrices (Centre, Champagne-Ardenne et Bourgogne).

Source : Pleinchamp.com avec Agreste le 9/02/10

Un petit coup d'oeil rapide sur le blé échéance Mars 2010 sur le MAT :

Ble-10-fevrier-10.png


Trading range entre 125 et 126,75€/t, en attente d'une sortie qui pourrait se faire vers le Nord.
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9 février 2010 2 09 /02 /février /2010 22:03
Bonsoir à tous,

Après 48h00 en déplacement, je me suis mis devant mon écran TV pour regarder l'émission sur ARTE : "Huit journalistes en colère" d'une durée de 30 mn dont je vous conseille de le visualiser sur ARTE +7 à l'adresse suivante :
http://plus7.arte.tv/fr/1697480,selectedTags=2-090210.html à 21h30
http://www.arte.tv/fr/Comprendre-le-monde/Main-basse-sur-l-info/3046884.html#2

J'ai trouvé cette émission fantastique sur la remise en cause des journalistes de la presse écrite vis à vis de la crise qu'ils traversent suite à la montée en puissance d'Internet depuis 2005 et de permettre de faire le paralèlle avec la crise que traverse le monde agricole depuis 2009.
On peut remettre en cause la problématique de la façon de travailler de l'agriculteur et son individualisme perpétuel, la gestion des coopératives, l'offre d'achat du produit fini par rapport à la façon d'acheter ses appro, la démocratie et les conseils d'administrations, les fusions actuelles ou regroupement des O.S à la vitesse de la lumière ...

Nous sommes bien à un tournant de notre business modèle comme un certain nombre de secteurs (la Presse, les Banques, les Entreprises occidentales, les Biotechnologie, l'Energie, l'Agriculture ...), bienvenue dans le XXI ème Siècle.

Je vais être un peu moins présent sur ce blog dans les semaines qui viennent pour pouvoir développer le projet du site portail. J'ai rencontré le directeur de la division agricole d'une des plus grandes banques françaises, mais ce dernier vient de signer en janvier 2010 un partenariat avec un des 2 principaux portail agricole existant à ce jour. Je reprends donc mon baton de pélerin pour développer mon idée et trouver un partenaire d'une envergure européenne.

Je vous laisse donc réfléchir et commenter ce superbe reportage dans la rubrique commentaire.
Votre serviteur.
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7 février 2010 7 07 /02 /février /2010 21:58

On parcourant le net, je suis tombé sur cet article concernant le maïs, faisant fi du retour de la demande des biocarburants issus du maïs car comme chacun le sait aujourd'hui, le sucre de canne fait un peu défault au niveau des disponibilités avec l'envol des cours depuis plus de 6 mois.


Campagne maïs - Evolution attendue à la baisse pour les cours du maïs


Hausses de production, retrait de la demande et raffermissement du dollar, autant de facteurs agissant pour une baisse des cours mondiaux du maïs.

 

 

Dans son dernier bulletin économique, l’Agpm annonce la hausse prévue par la Bolsa de céréales de Buenos Aires de la récolte argentine de maïs à 18,4 millions de tonnes grâce à des rendements attendus à 80 q/ha. L’Usda, en janvier, avait estimé à 15 Mt la récolte argentine. Un disponible exportable de plus de 10 Mt permettrait à l’Argentine d’occuper une bonne place sur le marché mondial. « Par ailleurs, la production de soja sud américaine s’annonce excellente, notamment en Argentine, mettant les prix du complexe oléagineux sous pression. » Le retrait de la Chine du marché et la hausse du cours du dollar devraient encore ajouter à la tendance baissière.

Dans l’Union, l’origine française continue de profiter de l’absence de ses concurrents de l’Est, notamment de la Hongrie, même si la demande reste timide. Le maïs pâtit, en effet, de la concurrence des autres céréales fourragères. Une ouverture est possible sur l’Italie qui a revu sa production à la baisse à 7,66 Mt.

Source : Terre-net Média du 4/02/10

Regardons maintenant le graphe du maïs échéance Mars sur le CBOT :

Mais-5-Fevrier-2010.png

La similitude avec le Wheat d'un point de vue analyse chartiste se situe vis à vis du MACD et de la MM7, dans la courbe du 1er s'applanit et en attente de franchir sa ligne de signal à la hausse et dont le 2nd faisant toujours office de barrière naturelle à un rebond technique tout proche.

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5 février 2010 5 05 /02 /février /2010 19:39
Les marchés boursiers sont en chute libre (rappelez-vous un certain lundi de mi-janvier lorsque j'ai fais vendre moitié du prtefeuille lorsque le CAC était aux alentours de 4100 points, alors que nos chers analystes nous annonçaient un CAC à 4800 points d'ici quelques mois), avec un CAC 40 à moins de 3600 points.
Qu'observe t on sur le blé?, un volume de près de 18 000 lots échangés ce jour dont 8 500 sur la seule échéance de Mars 2010 avec une clôture à 125€/t (-0,5€).
Par temps de tempête, le blé qui est déjà bas, semble sérieusement résister, est-ce un signe ?, je n'y crois guère, mais nous sommes bien sur des niveaux clés sur lesquels ont pourrait bien avoir un rebond technique au vu du MACD.

Ble-5-fevrier-10.png
Pas le temps de faire plus, compétition oblige.
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3 février 2010 3 03 /02 /février /2010 22:20

La journée avait bien commencé ce jour avec le suivi du tracé d'hier continuant de ce fait à valider la figure en " W " pour le blé et on naviguant au-dessus de sa MM7 jours pour le Wheat. Mais une nouvelle fois, la cruelle réalité a donné une leçon (une fois de plus) à l'analyse technique (ou chartiste) avec en milieu d'après midi, les estimations de récolte (via le cabinet Informa) pour le Maïs et le Soja au Brésil et en Argentine, et là, patatra ..., retour à la case départ pour finir ce soir pour le Wheat à un plus bas de près de 4 mois à 4,69 $ le boisseau sur l'échéance Mars 2010. Pour ceux qui en doutaient encore, la CONSOMMATION ne répond plus présent (même si les stats sont manipulées, la tendance de fond est bien réelle).

Pour info (estimation via le cabinet Informa) :

Maïs en Argentine = 18,16 Mt
Maïs au Brésil = 53,33 Mt

Soja en Argentine = 53,98 Mt
Soja au Brésil = 66,47 Mt

Le seul point positif en vue serait dans un premier temps, l'utilisation accrue du Maïs pour les biocarburants et dans un second temps l'appétit de la Chine dans ses achats de Soja sur le 1er trimestre qui semble perduré.

Pour le Wheat et son A.T, je vous laisse visualiser ce magnifique canal baissier (attention à la sortie de route si proche) :

Wheat-3-fev-10.png


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2 février 2010 2 02 /02 /février /2010 19:56
Bonjour à tous,

Un peu de mal à gérer mon emploi du temps professionnel en ce moment (vente + référencement). Pas simple et cela me l'a laissé peu de temps pour apporter une 1ère synthèse à vos réponses concernant les prix de vente ainsi que le seuil de commercialisation à mettre en ligne (je ne dois surtout pas vous induire en erreur).

Un petit coup d'oeil à 20h00 sur le blé échéance Mars 2010 avant de partir pour mon entrainement de ping avec cette possibilité de scénario en " W " avec le MACD qui pourrait très prochainement nous donner un signal :


Ble-2-fevrier-10.png

Dans le même temps, le Wheat casse à la hausse sa MM7 j qui bloquait les cours depuis la chute d'il y a 3 semaines.
Bizarre, bizarre, le hasard n'aurait-il pas sa place dans ce monde impitoyable de la finance en ces temps fortement chahutés.
A suivre de près sur cette 1ère quinzaine de février ...
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31 janvier 2010 7 31 /01 /janvier /2010 23:17

Si la réduction de l'ordre de 30% du recours aux pesticides semble possible, sans bouleversement majeur des systèmes de production, l'objectif de 50% impliquerait des changements profonds et des baises de production de 12 à 25% selon les cultures, d'après un rapport présenté par l'Inra.

 

Coordonnée par l'Inra, l'étude Ecophyto R&D a été menée à la demande des ministres de l'Agriculture et de l'Environnement. Objectif : identifier de premières pistes d'actions pour répondre à l'objectif du Grenelle de réduire en moyenne de 50% les quantités de pesticides utilisés, si possible d'ici 2018, rappelle l'Inra.

Les travaux montrent « qu'une réduction de l'ordre de 30% du recours aux pesticides à l'échelle nationale serait possible avec des changements de pratiques substantiels, mais sans bouleversement majeur des systèmes de production, et avec des effets sur les niveaux de production et les marges variables selon les secteurs de production et les niveaux de prix »

En grandes cultures, qui représentent la majorité des surfaces et de l'utilisation des pesticides, les marges seraient peu ou pas touchées dans le contexte de prix de 2006, mais une baisse de production d'environ 6% serait observée.

 

Réduction de 50% : plus ardu !

 

Pour la réduction globale de moitié de l'utilisation des pesticides, engagement du Grenelle, l'étude estime que l'objectif est plus « ardu ». Il impliquerait une nouvelle conception des systèmes de production avec des effets significatifs sur le niveau de production et les marges.

« Il faudrait pour cela que toute la production française passe en production intégrée soit une baisse de la pression des pesticides estimée à 50% en grandes cultures, 37% en viticulture, 21% en arboriculture et 100% sur les prairies » explique l'étude. Les baisses de production sont alors estimées à 12% en grandes cultures, 24% pour la viticulture et 19% pour les fruits (sur la base des prix 2006)

En grandes cultures, cet objectif suppose par exemple d'allonger les rotations et donc d'introduire de nouvelles cultures dans les assolements. En arboriculture fruitière, la production intégrée passerait par un renouvellement des vergers pour implanter des variétés résistantes aux maladies. «Ces évolutions ne seraient pas neutres sur la structure de la production française et son commerce extérieur», prévient le rapport.

Le rapport conclut sur la nécessité de mettre en place une organisation coordonnée pour la diffusion des pratiques alternatives et l'acquisition des références technico-économiques sur les systèmes économes en pesticides.

 

Rapport complet est disponible sur le site de l'Inra : http://www.inra.fr/ecophytoRD

Source : INRA / Pleinchamp.com du 29/01/10

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29 janvier 2010 5 29 /01 /janvier /2010 23:51

Le président de la Fédération des entreprises du commerce et de la distribution (Fcd) Jérôme Bédier a estimé mardi que la solution des crises agricoles ne résidait pas dans un partage de la valeur ajoutée mais dans une organisation du marché et des filières. "Engager le débat sur le thème de la valeur ajoutée n'est pas la bonne façon de faire", a-t-il estimé lors de la présentation de ses voeux, au lendemain des déclarations du Président sur ce sujet.

« Je veux poser la question de la répartition de la plus value dans la chaîne de production (...) Les producteurs agricoles doivent en avoir plus par rapport aux distributeurs », avait déclaré lundi Nicolas Sarkozy sur TF1. « Le monde agricole est dans une grande difficulté », a souligné M. Bédier. « Nous le savons, nous n'y sommes pas indifférents ». Mais « la valeur ajoutée elle ne se partage pas », a-t-il insisté. « Les agriculteurs savent bien que leur revenu dépend de l'équilibre de leur propre marché ».

« Il faut ôter cette espèce d'illusion qu'il y a un sac d'or enterré (...) et qu'il faut aller se servir », a-t-il poursuivi. Selon lui, « la bonne manière d'introduire le débat » est de travailler à la « compétitivité et l'organisation des filières alimentaires et agroalimentaires françaises ». Il a souhaité que « le travail de l'observatoire des prix et des marges se fasse jusqu'au bout » et s'est dit « favorable » à la « contractualisation entre producteurs et industriels du lait ». La contractualisation est l'un des points forts de la future Loi de modernisation de l'agriculture (Lma) qui prévoit que les relations commerciales entre producteurs et industriels feront désormais l'objet d'un contrat, stipulant les prix et les volumes notamment.

La grande distribution plus vigilante encore en 2010 sur les négociations avec les fournisseurs...

M. Bédier a réitéré deux propositions de son organisation dans le cadre de la Lma. La première prévoit une « indication d'origine » pour les ingrédients qui représentent plus de 50 % des produits agroalimentaires. Il s'est également prononcé pour la possibilité « en temps de crise grave » de fixer un prix minimum. Dans la distribution, l'année 2009 a été marquée par « une baisse forte des prix », sur fond de forte concurrence entre les enseignes, qui s'est traduite par une diminution sensible des marges opérationnelles, a-t-il souligné.

Pour 2010, « il y a une forte tendance à l'augmentation des cours des matières premières », a-t-il relevé. « Dans ce contexte, les distributeurs sont très vigilants dans le cadre des négociations commerciales en cours avec leurs fournisseurs, de façon à ce qu'elles aboutissent à des prix les plus favorables possible aux consommateurs », a-t-il indiqué. La Fcd ne réclame pas de mesures de relance de la consommation. « Mais nous souhaitons qu'il puisse y avoir une sorte de halte au feu » aux taxes et aux prélèvements, a-t-il dit.

Source : AFP

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28 janvier 2010 4 28 /01 /janvier /2010 07:43
Environnement : Bruno Le Maire veut changer de méthode

 

Le ministre de l'Agriculture, a annoncé, lors de la présentation de ses voeux à la presse, qu'il allait proposer, dans les prochains jours à Jean-Louis Borloo, « une nouvelle méthode de travail » concernant les contraintes environnementales imposées aux producteurs.

 

Bruno Le Maire propose de définir une nouvelle méthode « permettant de mieux prendre en compte l'impact économique des contraintes environnementales pour le producteur.

Pour toute nouvelle mesure environnementale mise en place, « dans le respect du Grenelle » une étude d'impact devra répondre à trois questions : « Quel est le bénéfice réel pour la société ? Le progrès qu'elle permet d'accomplir ?», « Quel est l'impact économique pour la filière concernée ? », « Cette mesure est-elle mise en place au même niveau par nos voisins européens ? ».

« Aucune profession ne fait autant d'efforts pour s'adapter aux règles environnementales», a souligné Bruno Le Maire.

Source : Pleinchamp.com du 22/01/10


Les nuages s’amoncèlent au-dessus de nos têtes d’agriculteurs producteurs d’aliments de base pour apporter l’énergie nécessaire aux besoins vitaux de nos concitoyens français et de nos semblables répartis sur la planète entière.

Le plan Ecophyto 2018 décrété suite au grenelle de l’environnement, veut que l’agriculture française réduise de 50 % l’utilisation des pesticides d’ici 2018.

Cela demande donc une réorientation des objectifs stratégiques avec on quadrature du cercle, rester compétitif tout en réduisant fortement l’utilisation des intrants.

P.S : Je commence beaucoup mieux à comprendre l’article sur la demande d’un cours du blé à 400 €/t.

Je vous fais grâce de la loi sur l’eau, avec son objectif de rétablir le bon état de l’eau d’ici 2015 (5 ans), et de l’application de la nouvelle directive nitrate.

Euh, là, ce n’est plus super Sarko qu’il va nous falloir pour résoudre tout cela mais bien un futur Einstein avec ses équations et sa théorie « des cordes » (existence d’une dimension parallèle) pour résoudre cette quadrature du cercle. Si effectivement, la nation française souhaite qu’il y ait encore des agriculteur demain en France où alors plus que des industriels possédant des terres du type « Charles Beigbéder » avec son positionnement en Ukraine et son projet sur 50 000 hectares ou du type des grandes surfaces alimentaires ou industriels alimentaires commençant à louer des 10aines de milliers d’hectares dans certains pays.

 

Les questions de l’exposé scientifique concernant les IFT (Indice de Fréquence des Traitements) étaient les suivantes :

Il va falloir ajuster le nombre de traitements aux besoins de la culture et réduire l’utilisation des PPP (produit de protection des plantes). La notion de : niveau de seuil est déterminante. L’enjeu est bien d’augmenter le niveau des seuils d’intervention vis-à-vis de l’incidence du parasitisme présent (insecte, champignon …). Les questions à se poser :

a-t-on un effet régional (+ d’oïdium en région Champagne qu’en Limagne)

avec des variétés plus résistantes ou tolérantes, y a-t-il une augmentation de seuil possible en relation avec le niveau de résistance de la variété utilisée

Réduction fortement possible des intrants dans les régions où les pressions sont faibles.

 

Il va donc falloir mobiliser les ressources génétiques :

quels dispositifs expérimentaux mettre en place ?

quelles adaptations réaliser pour identifier et promouvoir des variétés moins dépendantes aux intrants

 

Il y a aussi le chapitre concernant le BSV (Bulletin de Santé du Végétale), mais je pense que cela suffit pour aujourd’hui.

 

A mon avis, nous sommes au début d’un tournant majeur pour l’avenir et l’existence même de notre métier, mais je pense qu’il est encore temps d’infléchir la tendance et de reprendre les choses en mains, mais pour cela sachant qu’il est très rare de trouver à chaque coin de rue un Albert Einstein, je pense qu’en agglomérant nos cellules grises respectives, nous devons être capable de construire un « Big Blue » ou une intelligence artificielle capable de montrer que les agriculteurs avec leur force de caractère,  leur force de travail et notamment leur réel sens du respect de la nature avant touts les autres donneurs de leçon du type « écolo ou pseudo écolo », sont capable de relever le défi qui est de pourvoir nourrir la planète tout en restant compétitif et on vivant tout naturellement de son métier sans opulence mais sans mendicité non plus.

 

 

 

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27 janvier 2010 3 27 /01 /janvier /2010 11:36
Bonjour à tous,

Excellent la qualité des échanges entre vous dans la rubrique commentaire.
J'étais hier en réunion à Paris, et je peux vous dire que ce qui nous attons avec le Plan Ecophyto 2018, est un "chantier" énorme dont on se passerait bien. J'y reviendrai cet après midi, car je dois à l'instant me plonger sur le sujet de l'ADSL haut débit (je veux dire un débit normal et non pas un débit à petite vitesse) pour nos campagnes avec la rencontre privée de mon Conseiller général et de France Télécom en ce début d'après midi.
Après le sujet concernant le plan Ecophyto 2018, comme promis, je vous mets en ligne un tableur pour calculer le seuil de commercialisation.
Et pour finir, je commence la synthèse de toutes vos remarques et infos concernant les prix de commercialisations.
C'est impressionnant de voir que de touts les coins de France, des agriculteurs et éleveurs se maniféstent (via la rubrique "Contact") avec la même envie de faire bouger le système en place perdurant depuis des décénnies. Il en va de la survie à long terme des agriculteurs et éleveurs français par rapport au développement agricole mondial (Brésil, Argentine, Australie, Amérique du Nord, Asie ...) et donc de ce fait de notre sécurité alimentaire, enjeu stratégique au même plan que celui de l'Energie.

Un petit regard sur les cours du blé ce midi, échéance Mars 2010 à 126,75€

Ble-27-janv-10.png
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